Liberté pour Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan !

Communiqué du Collectif Ne laissons pas faire !

Les camarades et groupes de défense et de soutien aux militants d’Action Directe emprisonnés et tous ceux qui voudront répondre à cet appel se réuniront autour du thème “Histoire sans parole”

Communiqué du Collectif Ne laissons pas faire !

Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan sont toujours en prison depuis bientôt 23 ans, bien qu’ayant accompli leur peine de sûreté depuis 2005.

Jean-Marc Rouillan : il y a un an, après une manipulation médiatique, un jugement révoquait sa semi-liberté à la veille de sa libération conditionnelle. Au printemps dernier, à la suite d’une détérioration de sa santé, une maladie grave, rare et évolutive, était diagnostiquée, dont le traitement, expérimental, ne peut légalement se faire en prison. Durant des mois, à la prison des Baumettes, Jean-Marc a été laissé sans soins adaptés. Le 27 octobre, Jean-Marc a été transféré… au centre de détention de Muret, près de Toulouse, alors même que la justice venait d’évoquer un transfert en région parisienne, afin d’y être soigné par des médecins de la Pitié-Salpétrière spécialistes du syndrome de Chster-Erdheim. Jean-Marc va-t-il enfin bénéficier d’un traitement efficace de sa maladie, ou bien la justice attend-elle que de graves complications dégradent encore sa santé ? Si son maintien en prison l’empêche d’être soigné, qu’on lui applique la loi Kouchner ! Et qu’on cesse de s’acharner à le priver du droit d’une libération conditionnelle : cela va bientôt faire un an qu’elle aurait dû lui être accordée. Jean-Marc Rouillan doit être libéré !

Georges Cipriani : le 30 avril dernier, un jugement lui avait accordé un régime de semi-liberté d’un an. Mais, sur appel du parquet, des juges ont infirmé cette décision le 20 août, découvrant après 22 mois de procédure que le dossier de Georges n’était soi-disant pas recevable, lui reprochant de ne pas renier son engagement politique et de persister à se définir comme prisonnier d’Action directe. Comme si ce n’était pas cette identité politique assumée qui lui avait valu de passer ces 22 années enfermé, qui lui avait donc permis de résister à cet anéantisse-ment carcéral qui se poursuit. Une nouvelle demande de libération conditionnelle a été déposée : nous voulons qu’elle soit examinée au plus vite. Georges Cipriani doit être libéré !

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Les camarades et groupes de défense et de soutien aux militants d’Action Directe emprisonnés et tous ceux qui voudront répondre à cet appel se réuniront autour du thème “Histoire sans parole”

Communiqué du Collectif Ne laissons pas faire !

Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan sont toujours en prison depuis bientôt 23 ans, bien qu’ayant accompli leur peine de sûreté depuis 2005.

Jean-Marc Rouillan : il y a un an, après une manipulation médiatique, un jugement révoquait sa semi-liberté à la veille de sa libération conditionnelle. Au printemps dernier, à la suite d’une détérioration de sa santé, une maladie grave, rare et évolutive, était diagnostiquée, dont le traitement, expérimental, ne peut légalement se faire en prison. Durant des mois, à la prison des Baumettes, Jean-Marc a été laissé sans soins adaptés. Le 27 octobre, Jean-Marc a été transféré… au centre de détention de Muret, près de Toulouse, alors même que la justice venait d’évoquer un transfert en région parisienne, afin d’y être soigné par des médecins de la Pitié-Salpétrière spécialistes du syndrome de Chster-Erdheim. Jean-Marc va-t-il enfin bénéficier d’un traitement efficace de sa maladie, ou bien la justice attend-elle que de graves complications dégradent encore sa santé ? Si son maintien en prison l’empêche d’être soigné, qu’on lui applique la loi Kouchner ! Et qu’on cesse de s’acharner à le priver du droit d’une libération conditionnelle : cela va bientôt faire un an qu’elle aurait dû lui être accordée. Jean-Marc Rouillan doit être libéré !

Georges Cipriani : le 30 avril dernier, un jugement lui avait accordé un régime de semi-liberté d’un an. Mais, sur appel du parquet, des juges ont infirmé cette décision le 20 août, découvrant après 22 mois de procédure que le dossier de Georges n’était soi-disant pas recevable, lui reprochant de ne pas renier son engagement politique et de persister à se définir comme prisonnier d’Action directe. Comme si ce n’était pas cette identité politique assumée qui lui avait valu de passer ces 22 années enfermé, qui lui avait donc permis de résister à cet anéantisse-ment carcéral qui se poursuit. Une nouvelle demande de libération conditionnelle a été déposée : nous voulons qu’elle soit examinée au plus vite. Georges Cipriani doit être libéré !

Communiqué du Collectif Ne laissons pas faire !

Georges Cipriani et Jean-Marc Rouillan sont toujours en prison depuis bientôt 23 ans, bien qu’ayant accompli leur peine de sûreté depuis 2005.

Jean-Marc Rouillan : il y a un an, après une manipulation médiatique, un jugement révoquait sa semi-liberté à la veille de sa libération conditionnelle. Au printemps dernier, à la suite d’une détérioration de sa santé, une maladie grave, rare et évolutive, était diagnostiquée, dont le traitement, expérimental, ne peut légalement se faire en prison. Durant des mois, à la prison des Baumettes, Jean-Marc a été laissé sans soins adaptés. Le 27 octobre, Jean-Marc a été transféré… au centre de détention de Muret, près de Toulouse, alors même que la justice venait d’évoquer un transfert en région parisienne, afin d’y être soigné par des médecins de la Pitié-Salpétrière spécialistes du syndrome de Chster-Erdheim. Jean-Marc va-t-il enfin bénéficier d’un traitement efficace de sa maladie, ou bien la justice attend-elle que de graves complications dégradent encore sa santé ? Si son maintien en prison l’empêche d’être soigné, qu’on lui applique la loi Kouchner ! Et qu’on cesse de s’acharner à le priver du droit d’une libération conditionnelle : cela va bientôt faire un an qu’elle aurait dû lui être accordée. Jean-Marc Rouillan doit être libéré !

Georges Cipriani : le 30 avril dernier, un jugement lui avait accordé un régime de semi-liberté d’un an. Mais, sur appel du parquet, des juges ont infirmé cette décision le 20 août, découvrant après 22 mois de procédure que le dossier de Georges n’était soi-disant pas recevable, lui reprochant de ne pas renier son engagement politique et de persister à se définir comme prisonnier d’Action directe. Comme si ce n’était pas cette identité politique assumée qui lui avait valu de passer ces 22 années enfermé, qui lui avait donc permis de résister à cet anéantisse-ment carcéral qui se poursuit. Une nouvelle demande de libération conditionnelle a été déposée : nous voulons qu’elle soit examinée au plus vite. Georges Cipriani doit être libéré !


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