Liberté pour les militants amazigh HAMID OUADOUCH et MUSTAPHA OUSSAYA

Hamid OUADOUCH et Mustapha OUSSAYA, jetés injustement dans les geôles du makhzen depuis 2007, ont entamé le 13 octobre 2011 une grève de la faim illimitée pour dénoncer les conditions inhumaines de leur incarcération. Ils préfèrent mourir que de subir l’humiliation de l’administration pénitentiaire de la prison de Toulal à Meknas. Ils ne cessent de clamer leur innocence et exigent leur libération immédiate. Ils ont déjà observé trois précédentes grèves de la faim à la prison de Sidi Said à Meknes en 2007 et 2008 avant d’être transférés à la sinistre prison de Toulal dans la même ville.

Je partage sur :

Hamid OUADOUCH et Mustapha OUSSAYA, jetés injustement dans les geôles du makhzen depuis 2007, ont entamé le 13 octobre 2011 une grève de la faim illimitée pour dénoncer les conditions inhumaines de leur incarcération. Ils préfèrent mourir que de subir l’humiliation de l’administration pénitentiaire de la prison de Toulal à Meknas. Ils ne cessent de clamer leur innocence et exigent leur libération immédiate. Ils ont déjà observé trois précédentes grèves de la faim à la prison de Sidi Said à Meknes en 2007 et 2008 avant d’être transférés à la sinistre prison de Toulal dans la même ville.

Devant l’attitude autiste des autorités marocaines, les deux détenus politiques de la cause amazighe au Maroc HAMID OUADOUCH et MUSTAPHA OUSSAYA entament une quatrième grève de la faim.
Hamid OUADOUCH et Mustapha OUSSAYA, jetés injustement dans les geôles du makhzen depuis 2007, ont entamé le 13 octobre 2011 une grève de la faim illimitée pour dénoncer les conditions inhumaines de leur incarcération. Ils préfèrent mourir que de subir l’humiliation de l’administration pénitentiaire de la prison de Toulal à Meknas. Ils ne cessent de clamer leur innocence et exigent leur libération immédiate. Ils ont déjà observé trois précédentes grèves de la faim à la prison de Sidi Said à Meknes en 2007 et 2008 avant d’être transférés à la sinistre prison de Toulal dans la même ville.
Sous la pression du soulèvement populaire initié au Maroc par le Mouvement du 20 février, le Makhzen a procédé à la libération de plusieurs détenus politiques notamment islamistes (sans doute dans l’espoir d’attirer la sympathie de ce courant politique qui n’hésite pas, ailleurs, à utiliser la violence pour imposer sa vision). Mais cette concession arrachée grâce à la mobilisation populaire n’a pas concerné les militants amazighs injustement détenus depuis 2007. Leurs conditions de détention ont encore empiré après leur transfert vers la prison de Toulal. L’annonce par les autorités du Makhzen de la constitutionnalisation de la langue amazighe ne revêt de ce fait aucune crédibilité devant une attitude répressive à l’endroit des militants de la cause amazighe
L’association ZARI pour la promotion de la culture amazigh dans les Bouches du Rhône (France) se joint à toutes les manifestations de solidarité à travers les pays de Tamazgha et dans la diaspora pour apporter son soutien total à la lutte courageuse que mènent les deux détenus politiques à l’intérieur des prisons et interpelle les autorités du Makhzen agir pour leur libération avant qu’une issue irrémédiable ne puisse survenir des suite de la grève de la faim. Si par malheur une telle issue arrive, les autorités du Makhzen seraient seules comptables devant l’opinion publique internationale.
- Pour attirer l’attention de l’opinion publique sur le sort injuste réservé à HAMID OUADOUCH et MUSTAPHA OUSSAYA
- Pour exiger des autorités du Makhzen la libération immédiate de HAMID OUADOUCH et MUSTAPHA OUSSAYA
L’association ZARI pour la promotion de la culture amazigh dans les Bouches du Rhône appelle à un rassemblement le
LE SAMEDI 5 NOVEMBRE 2011 A 11H
DEVANT LE CONSULAT DU MAROC A MARSEILLE
22, allées Léon Gambetta 13001 Marseille


Vous voulez vous informer sur l’actualité amazighe en Afrique du Nord ?
Ecoutez l’émission « Tiγ ri Ussirem »
Tous les vendredi de 21h30 à 23h
Sur radio Galère (88.4 Khz ) Ou
( http://www.radiogalere.org)